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07
Juillet
2021
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Parmi les assurances-vie les plus performantes du marché figurent les contrats proposés par l’intermédiaire d’associations. Celles-ci présentent l’avantage de garantir les intérêts de leurs adhérents face à l’assureur.
Un bon contrat d’assurance-vie s’analyse en fonction de plusieurs types de critères : fonds employé, monosupport ou multisupport, composition du portefeuille d’actions… Autant de critères qui vont jouer sur le rendement futur du contrat et sur sa réputation globale.
Parmi les assurances-vie les plus performantes du marché figurent les contrats proposés par l’intermédiaire d’associations. Celles-ci présentent l’avantage de garantir les intérêts de leurs adhérents face à l’assureur.
Un bon contrat d’assurance-vie s’analyse en fonction de plusieurs types de critères : fonds employé, monosupport ou multisupport, composition du portefeuille d’actions… Autant de critères qui vont jouer sur le rendement futur du contrat et sur sa réputation globale.
Dans un tel contexte, le contrat associatif est réputé pour enregistrer de belles performances.
L’association d’épargnants, dans son rôle d’intermédiaire, négocie un contrat collectif auprès de l’assureur et négocie de cette façon de meilleurs taux.
Les adhérents traitent avec l’association et non directement avec l’assureur, ce qui leur assure une relation personnalisée et un relais d’information : l’association possède en effet un magazine, qu’elle destine à ses adhérents, doté d’une information objective ; elle crée régulièrement des événements (conférences, rencontres thématiques, etc…) et veille au suivi de l’évolution de ses contrats, dans le respect de l’équilibre entre l’assureur et l’adhérent.
Les contrats associatifs se retrouvent régulièrement dans le peloton de tête des assurances-vie les plus rentables à cinq ans, laps de temps qui commence à être représentatif, dans la mesure où l’on parle d’un placement optimisé sur le long terme.
Sur vingt ans va se dessiner la fiabilité d’un produit, sa performance globale dans le temps et au final, sa qualité.
Dans certains schémas, l’assureur délègue une partie de sa gestion à l’association, qui a alors un véritable rôle de suivi du dossier de ses adhérents, notamment en matière d’arbitrages.
Le fonds en euros qui sert de base à la constitution de l’assurance-vie est régulièrement « cantonné », c’est-à-dire isolé juridiquement des autres actifs de l’assureur, ce qui signifie que les épargnants sont certains de se voir reverser la totalité des performances réalisées par le fonds, ce qui est rarement le cas pour les contrats de banques ou d’assurances.
Les associations font souvent évoluer leur contrat dans le temps : elles y ajoutent de nouvelles options, qui garantissent la vitalité du produit et le cas échéant, le modernisent. Elles peuvent aussi le faire évoluer en gestion sous mandat.
Elles prélèvent la plupart du temps des frais d’entrée, entre 2% et 4%, alors que les assurances-vie proposées en ligne, par exemple, en sont totalement dépourvues. Il y a également une cotisation annuelle à prévoir. Mais ces quelques frais ne sont pas significatifs dans la mesure où elles enregistrent de meilleures performances dans la durée.
Ainsi les associations garantissent-elles dans l’ensemble une belle qualité de service et de prestation.
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